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Affichage des articles du 2018

Le projet de Nestlé pour Noisiel, une plaisanterie de mauvais goût...

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Monsieur Pierre-Alexandre Teulié, PDG de Nestlé France, a décidé pour les habitants de Noisiel et de ses environs que le site Menier, après le départ de l'entreprise fin 2019, serait une " Cité du goût " . Une plaisanterie de mauvais goût destinée à masquer une opération immobilière de luxe. Monsieur Pierre-Alexandre Teulié ne sait sans doute pas que depuis fin 2012 en Ile-de-France Chevilly-Larue-Rungis avec Dijon, Tours, et Lyon fait partie du réseau des Cités de la gastronomie. Un projet découlant de l'inscription du Repas gastronomique à la française au patrimoine immatériel de l'humanité porté par la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires (MFPCA) (1). Y-aurait-il de la place pour deux cités de ce type dans notre région ? Difficilement envisageable d'autant que les deux projets semblent au premier abord identiques " proposer des activités, de l'apprentissage, de la culture autour du g oût".  Les majors de l'a

Nous n'en avons pas fini avec Nestlé...

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Voilà, nos amis ex-salariés de Bob Martin sont rentrés chez eux après 14 jours devant le siège de Nestlé France pour réclamer leur réintégration suite à un simulacre de reprise. Dès la connaissance de leur action, La France nsoumise a été présente à leur côté afin de leur être utile dans la lutte qu’ils mènent contre la multinationale de l’agro-alimentaire. La solidarité concrète leur a permis de passer au mieux ces journées et ces nuits loin de leur famille dans un confort tout relatif mais baigné par le soleil et la chaleur humaine qui réchauffe les coeurs. Entre deux actions, distribution de tracts, performance artistique ils ont pu suivre les matchs de la coupe du monde (merci pour eux à Emmanuel et Robert). Nous avons passé un grand moment de solidarité et d’humanité dans la joie et la bonne humeur malgré la gravité de la situation, celle qui marque notre manière à nous la France insoumise de " faire de la politique ". Nous avons tissé des liens très

Paris-Vallée de la Marne, 72 agents ont disparus !

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L'agglomération Paris Vallée de la Marne jusqu'ici avare en données concernant son personnel viens de communiquer le chiffre de 33(*) suppressions de postes depuis la création de la collectivité. Ce sont pourtant 72 agents qui ont disparus ! En mai 2016, à la création de l'agglomération, il y avait officiellement 1078 agents inscrits sur les listes électorales professionnelles en capacité de voter. Ils ne sont plus que 967 au 10 janvier 2018 soit une différence de 111. Si l'on retranche les 39(*) agents transférés aux communes et au SIETOM suite aux transferts de compétence, on arrive à un delta de 72 agents , loin du chiffre évoqué par la direction de l'agglomération.   Où sont passés ces agents ?   Au-delà des chiffres qui sont la traduction des baisses de dotation de l'Etat, les Groupes d'action du territoire appellent le Conseil communautaire du 28 juin prochain à dire NON à la contractualisation avec l'Etat, non à l'austérité, à

Ne pas signer le contrat de dupe !

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Vous avez pu prendre connaissance de la réaction de Paul Miguel vis à vis du mouvement de grève des agents du réseau des médiathèques : il assume la dégradation du service public ! Depuis la naissance de l'agglomération il y a deux ans, ce sont 90 emplois qui ont disparus estime la CGT. Si cela est plus visible dans les services au contact du public (médiathèques, piscines), c'est partout le même problème de personnel qui génére des dysfonctionnement, affaibli le service public, dégrade son image. Et ça continue... Budget 2018 : réduction de personnel et chantiers pour de nouveaux équipements. Donc monsieur Miguel assume. Il assume tellement bien qu'il se retrouve à un dîner-débat avec le sénateur Arnaud de Belenet (LREM) et un " exper t" en fiscalité locale, organisé par le think tank (lire lobby) « Agglomération et nous citoyens en Seine-et-Marne » (Ancsem). Le président de l'agglo voudrait-il (il s'y est déjà entrainé) participe

Il est grand temps de sortir du nucléaire...

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Nous qui sommes dans une zone à risque, nous voyons bien qu'avec les événements climatiques de plus en plus violents, le vieillissement des réacteurs et du parc, le risque accru d'attentat, nous avons de réelles raisons de nous inquiéter du danger nucléaire. En 2017 un exercice de sûreté nucléaire à eu lieu pour la centrale de Nogent-sur-Seine qui atteindra sa fin de vie en 2028-2029, elle concernait uniquement les villes de Nogent-sur-Seine et Marnay-sur-Seine. Lors de l'incident de Fukushima du 11 Mars 2011, la zone d'exclusion mise en place par le gouvernement japonais n'était que de 20 km autour de la centrale alors que le gouvernement américain recommandait à ses ressortissants d'évacuer une zone de 80 km autour de Fukushima ! La carte présentée ci-dessus montre en rose foncé la zone de 30 km, en rose clair la zone de 80 km. Elle indique clairement qu'en cas d'accident nucléaire, une grande partie de la Seine-et-Marne serait i